Notez, un dĂ©putĂ© national toucherait actuellement, selon des sources crĂ©dibles, au moins 4 030$ ; et environ 6 000$ pour les sĂ©nateurs le mois. Les dĂ©putĂ©s provinciaux, eux, recevraient chacun 2 500$. Les ministres nationaux envoisineraient les 15 000$ de salaire mis Ă part tous les autres avantages, mais au niveau provincial, un ministre aurait 5 000$ de salaire brut. Le gouverneur de province touchait jusque 2011, plus de 10 000 dollars mensuel, officiellement. Quâen est-il des autres couches de la sociĂ©tĂ© ? Militaires et policiers de grade moyen franchissent peu souvent la barre de 100$. Il en est de mĂȘme des enseignants, des infirmiers et de plusieurs autres agents du mĂȘme secteur de lâadministration publique. Ici, on se rend clairement compte que le salaire dâun agent de sĂ©curitĂ© militaire et policier entre 110 fois dans celui dâun dĂ©putĂ© national quâil est tenu de sĂ©curiser. Celui dâun sĂ©nateur cooptĂ© est 130 fois plus supĂ©rieur que celui dâun infirmier qui le soigne ou dâun enseignant qui lâa instruis. Ces inĂ©galitĂ©s se font aussi ressentir dans le secteur commercial oĂč lâon observe que de nombreux hommes dâaffaires rĂ©alisent des gros bĂ©nĂ©fices pour ne payer que des miettes aux travailleurs qui les ont pourtant permis dâatteindre leurs bon rĂ©sultats. Bref, on sait voir que des inĂ©galitĂ©s sociales sont profondes mais surtout artificielles. Elles sont fabriquĂ©s. Or, les inĂ©galitĂ©s sociales, la pauvretĂ© ou la prĂ©caritĂ©, lâexclusion sont des entraves Ă la cohĂ©sion sociale. Non seulement, elles parmi les causes de la plupart dâhomicides commis en RDC. Contrairement a ce que pense plus dâun homme, les classes les plus dĂ©munies ne sont pas en elles-mĂȘmes dangereuses, mais le fait de mener des politiques dâexclusion et dâinĂ©galitĂ©, peuvent les rendre assez dangereuses. De mĂȘme, les Ă©conomistes dâopinion keynĂ©sienne estiment que les inĂ©galitĂ©s sociales sont un frein Ă la croissance Ă©conomique car aprĂšs quâelles diminuent la consommation des mĂ©nages, elles provoquent aussi la hausse du taux de chĂŽmage. Nous pouvons donc fournir un effort pour rĂ©duire ces inĂ©galitĂ©s dans notre sociĂ©tĂ© si nous visons rĂ©ellement amplifier la cohĂ©sion sociale. lâĆil de lâĂ©conomiste Post Views 14 778
Lacohésion sociale, Fada N'Gourma. 28 likes. Vivre ensemble403 ERROR The Amazon CloudFront distribution is configured to block access from your country. We can't connect to the server for this app or website at this time. There might be too much traffic or a configuration error. Try again later, or contact the app or website owner. If you provide content to customers through CloudFront, you can find steps to troubleshoot and help prevent this error by reviewing the CloudFront documentation. Generated by cloudfront CloudFront Request ID Z7HkAuJ_gTm41HeilUBz_FGyqtIkYM7LkDwBXpWbT1bcDrJv_iITMQ==
Lanouvelle analyse montre que les personnes faiblement qualifiĂ©es continuent de dĂ©crocher du marchĂ© du travail, Ă lâheure oĂč les prestations sociales sont moins adĂ©quates. Par ailleurs, les inĂ©galitĂ©s croissantes dans divers domaines continuent de Points de vue 30 mai 2017 - Reproduction interditeLes inĂ©galitĂ©s de revenus progressent parce que les plus favorisĂ©s en veulent toujours plus. Soit on assume le phĂ©nomĂšne, soit on se donne les moyens dâune plus grande solidaritĂ©. Par Anne Brunner et Louis Maurin de lâObservatoire des inĂ©galitĂ©s. Extrait du Rapport sur les inĂ©galitĂ©s en France, Ă©dition 2017 ». Ce texte est extrait du Rapport sur les inĂ©galitĂ©s en France, sous la direction dâAnne Brunner et Louis Maurin, Ă©dition de lâObservatoire des inĂ©galitĂ©s, juin 2017, 176 p., 8,50 âŹ. Le tableau des inĂ©galitĂ©s brossĂ© par lâĂ©dition 2017 du Rapport sur les inĂ©galitĂ©s en France ne pousse pas Ă lâoptimisme. Les classes favorisĂ©es, gourmandes, en veulent toujours plus » [1]. Rien de nouveau, mais le refus de voir les inĂ©galitĂ©s sociales dont sont victimes les classes populaires, lâexploitation des travailleurs flexibles par des stables, la prĂ©caritĂ© et le chĂŽmage des non-diplĂŽmĂ©s, conduit Ă une exaspĂ©ration qui sâexprime dans les urnes. Le dĂ©bat sur lâĂ©tat des inĂ©galitĂ©s est loin dâĂȘtre Ă la hauteur. Un grand nombre de commentateurs refusent de voir les consĂ©quences de cette montĂ©e des Ă©carts entre milieux sociaux. Ă lâopposĂ©, la dramatisation nâaide pas davantage. Ainsi par exemple, lâĂ©cole française nâamplifie pas les inĂ©galitĂ©s comme lâa pourtant indiquĂ© rĂ©cemment un rapport officiel [2]. Le modĂšle dâun Ătat social Ă la française, sâil nâa rien de providence », nâest pas Ă lâagonie notre pays demeure lâun des pays oĂč il fait le meilleur vivre sur la planĂšte. Les autres pays sont loin de faire mieux que la France, y compris dans le do Ilsâimplique et « prend part » Ă sa co-construction, Ă ses valeurs, Ă ses cultures, Ă ses normes, etc. Et Fraser de rajouter que la lutte contre les inĂ©galitĂ©s sociales nĂ©cessite de penser Ă lâintĂ©gration de la redistribution et de la reconnaissance en tant que composantes de la justice sociale. Ce qui lâamĂšne Ă porter un regard critique sur la thĂ©orie de la reconnaissance403 ERROR The Amazon CloudFront distribution is configured to block access from your country. We can't connect to the server for this app or website at this time. There might be too much traffic or a configuration error. Try again later, or contact the app or website owner. If you provide content to customers through CloudFront, you can find steps to troubleshoot and help prevent this error by reviewing the CloudFront documentation. Generated by cloudfront CloudFront Request ID n8PRkecJ3nSMsVXEFzybG2_4hgQ1_1fuuNhCThIE0tG62Sg1VlsALg==p2bse.