MathieuMadĂ©nian n'a jamais la langue dans sa poche. L'humoriste de 44 ans n'hĂ©site jamais Ă  prendre la parole, parfois pour invectiver la Mais combien y a t-il de bites dans la bouche Ă  Brigitte ? __________________________________ A la fois dur, A la fois mou, C'est bien lui, c'est Durmou !! C'Ă©tait pas prĂ©visible lĂ  a ok ma mĂšre s'appelle comme sa CondolĂ©ances __________________________________ A la fois dur, A la fois mou, C'est bien lui, c'est Durmou !! Jerry ______________________________________________ Okay, Que dirais tu d'un Monopoly ? Et y'a combien de verges sur le front de Serge ? Victime de harcĂšlement en ligne comment rĂ©agir ? Ya plus d’un cheveu sur la tĂȘte Ă  Mathieu ! - Causeur François Hollande n’a pas traitĂ© Xavier Mathieu de « sale type ». Une Ă©tude publiĂ©e dans la revue Science rĂ©vĂšle que les Babyloniens avaient trouvĂ© un moyen de calculer les mouvements de Jupiter, ceci en utilisant la gĂ©omĂ©trie. Si la dĂ©couverte se confirme, ils auraient Ă©tĂ© les premiers Ă  effectuer ces calculs, prĂ©cĂ©dant les EuropĂ©ens de ans. Cette tablette n'a l'air de rien et pourtant, elle pourrait réécrire l'histoire des mathĂ©matiques et mĂȘme de l'astronomie. Si l'on pensait depuis longtemps que les scientifiques europĂ©ens Ă©taient les premiers Ă  avoir utilisĂ© une technique gĂ©omĂ©trique pour Ă©tudier les astres, ce serait une erreur, selon une nouvelle travaux publiĂ©s dans l'illustre revue Science, suggĂšre que les Babyloniens auraient devancĂ© les EuropĂ©ens de prĂšs de ans. C'est Mathieu Ossendrijver, un professeur en histoire des sciences de l'UniversitĂ© Humboldt de Berlin, qui est Ă  l'origine de cette thĂ©orie. Selon elle, ce peuple antique aurait dĂ©veloppĂ© un systĂšme ingĂ©nieux pour Ă©tudier les mouvements de Jupiter entre 350 et 50 avant connaissances gĂ©omĂ©triques, prĂ©mices de l'astronomiePour en arriver lĂ , le professeur a Ă©tudiĂ© des tablettes d'argile prĂ©sentes au British Museum depuis le 19e siĂšcle. Cela faisait des dĂ©cennies que ces objets intriguaient les historiens car ils prĂ©sentaient des calculs que personne ne parvenait Ă  dĂ©chiffrer au vu des connaissances sur les Babyloniens. Toutefois, les spĂ©cialistes pressentaient qu'elles traitaient de puzzle ne s'est assemblĂ© que rĂ©cemment quand un collĂšgue de l'historien allemand lui a envoyĂ© des photos d'une tablette qu'il n'avait jamais vue, Ă©galement prĂ©sente au British Museum. En argile sombre, elle prĂ©sentait des caractĂšres cunĂ©iformes assez grossiers. "A dire vrai, cette tablette prĂ©sente une vilaine Ă©criture. C'est inclinĂ© comme si cela avait Ă©tĂ© Ă©crit trĂšs vite. C'est trĂšs abrĂ©gĂ©", a expliquĂ© Ossendrijver repris par LiveScience. MalgrĂ© cela, elle a permis Ă  l'historien de faire le lien avec les autres tablettes et dĂ©chiffrer le tout. Selon lui, elle dĂ©montre que les Babyloniens utilisaient non pas des concepts arithmĂ©tiques pour Ă©tudier les astres mais une technique gĂ©omĂ©trique. Plus prĂ©cisĂ©ment, la derniĂšre tablette reprĂ©senterait la vitesse Ă  laquelle Jupiter bouge dans l'espace sur une pĂ©riode de 60 jours. Mathieu Ossendrijver pense que la ligne horizontale reprĂ©sente le temps alors que la ligne verticale reprĂ©sente la vitesse. La ligne du haut, quant Ă  elle, montre comment la vitesse de Jupiter rĂ©duit avec le temps. En rĂ©alitĂ©, la planĂšte n'est mĂȘme pas mentionnĂ©e dans cette tablette, c'est en recoupant avec les autres que l'historien en est arrivĂ© Ă  cette dĂ©couverte qui change l'histoire de l'astronomie"Ça semble infime pour un profane mais cette gĂ©omĂ©trie est d'un type trĂšs particulier que l'on ne trouve pas ailleurs, par exemple, dans l'astronomie grecque antique", a prĂ©cisĂ© Ossendrijver. "C'est une application en astronomie qui Ă©tait totalement nouvelle. Jusqu'ici tout le monde pensait que les Babyloniens n'utilisaient que des chiffres dans leurs calculs". Avec cette dĂ©couverte, l'historien de Berlin met donc Ă©galement Ă  mal les certitudes europĂ©ennes. Longtemps, ce principe a en effet Ă©tĂ© attribuĂ© aux acadĂ©miciens d'Oxford qui, au 14Ăšme siĂšcle, utilisaient de façon plus Ă©toffĂ©e cette mĂȘme technique. Mais le savoir dĂ©veloppĂ© par les Babyloniens n'aurait pas qu'une origine scientifique mais aussi religieuse. Le dieu suprĂȘme de Babylone Ă©tait le dieu Marduk, souvent reprĂ©sentĂ© par la planĂšte Jupiter. Ainsi, l'astronomie allait bien au-delĂ  de la simple Ă©tude des astres pour ce peuple. "On pensait que si vous pouviez prĂ©dire le mouvement de Jupiter, vous pouviez aussi prĂ©dire le prix du grain, le temps ou le niveau du fleuve Euphrate", a prĂ©cisĂ© Ossendrijver. C'est Ă©galement Ă  cette Ă©poque que sont nĂ©s le zodiaque et l'astrologie.
Photographie animaliÚre et de nature » ; Images - Ne postez qu'un fil par semaine et par galerie ! » Macro AnimaliÚre (Modérateurs: Nico55, -Eric-) » ;
ï»żNombre d’écrivains se sont saisis de la figure de Jeanne d’Arc et ont racontĂ© son Ă©popĂ©e. Guillaume Lebrun le fait d’une maniĂšre provocante, ludique et drĂŽle, inventant des modalitĂ©s de rĂ©cit anachroniques et une langue d’une puissance formidable. Insolent en diable, il nous offre un roman historique version fĂ©ministe trĂšs original, qui emporte vraiment. Guillaume Lebrun, Fantaisies guĂ©rillĂšres. Christian Bourgois, 320 p., 20,50 € Fantaisies guĂ©rillĂšres est un oxymore violent non identifiĂ©, entre l’humour potache et le manifeste fĂ©ministe [1]. Le rĂ©cit de l’épopĂ©e de Jeanne d’Arc, revue et corrigĂ©e par Guillaume Lebrun, se partage entre deux narratrices, Yolande d’Aragon, belle-mĂšre du futur Charles VII, et l’une de ses crĂ©atures, Jehanne numĂ©ro douze, celle qui sera promue au rĂŽle de prophĂ©tesse divinement Ă©lue. Jehanne numĂ©ro sept, aspirante chroniqueuse, est chargĂ©e d’inventer la biographie de l’hĂ©roĂŻne, façonnage du boniment Ă  clampins », DomrĂ©my, moutons, enfance pieuse et tout le toutim. Portrait sur bois de Jeanne d’Arc © D. R. Lebrun n’est pas le premier Ă  soupçonner un complot royal derriĂšre l’aventure de la Pucelle. Divers historiens, de Philippe Erlanger Ă  Colette Beaune, l’ont dĂ©jĂ  fait, et orientĂ© les soupçons vers Yolande. Avant mĂȘme Voltaire, Enea Silvio Piccolomini, le pape Pie II, suggĂ©rait que Jeanne Ă©tait le produit d’une ruse de la noblesse française. Autant que cette rĂ©vision de la lĂ©gende, l’originalitĂ© de Lebrun, et l’insolence annoncĂ©e en quatriĂšme de couverture, tiennent au langage de ses narratrices. Toutes deux emploient le mĂȘme sabir moyenĂągeux, inventif, truffĂ© d’argot français et anglais, d’allusions Ă©rudites, de dĂ©tournements grammaticaux, de verlan. Seul le Dauphin se distingue avec un parler d’ado bien d’aujourd’hui. Quand, curieux, on google pournillade », on obtient Il semblerait qu’il n’y ait aucun rĂ©sultat pertinent associĂ© Ă  votre recherche. » Les mots valise n’en sont pas moins Ă©loquents balbouinants », orgieneries d’amour », ou encore ils me pĂ©nispliquaient Ă  qui mieux mieux », qui doit signifier quelque chose comme prendre la peine d’expliquer avec une condescendance toute masculine. Yolande tient les hommes de son entourage pour de parfaits crĂ©tins. Signe majeur de leur bĂȘtise, ce sont des dĂ©traquĂ©s du goupillon, ils croient au bon Dieu et Ă  ses bullshiteries. Elle-mĂȘme n’y a jamais cru, pas plus qu’au Diable. Rien, absolument rien au niveau du dark side », voilĂ  une rĂ©vĂ©lation qui l’emplit d’une joie immense PĂ©chez tant et plus, rien ne se passera ! » Elle ne s’en prive pas. Ce qui ne l’empĂȘche pas d’avoir elle-mĂȘme des hallucinations, Ă  la maniĂšre d’une mystique. Yolande s’est dĂ©jĂ  autoproclamĂ©e devineresse, histoire de se faire respecter par tous ces nutjobs. Les Anglais sont partout et le chaos rĂšgne en France lorsqu’elle prend les choses en main. Elle est du parti des Armagnacs par mariage mais, si l’affaire tourne mal, elle se fera Bourguignonne. Sa gamme de modĂšles fĂ©minins est Ă©clectique, de SĂ©miramis Ă  Christine de Pizan avec un z, please, sa famille vient du village de Pizzano, pas de Pise. Sans Ă©tat d’ñme, elle liquide les deux fils aĂźnĂ©s du roi, puis empoisonne son mari, Louis II d’Anjou, et obtient la rĂ©gence de ses quatre royaumes. Quand Louis III appelle Ă  l’aide sa Mum, elle lui rĂ©pond Sweetheart, nous ne sommes ready nenni ». C’est alors qu’un message du seul vrai Dieu, son MaĂźtre, lors d’une vision apocalyptique, lui inspire la mĂ©thode pour assurer l’avenir de sa progĂ©niture. Depuis des annĂ©es, une Grande ProphĂ©tie annonce que le royaume sera sauvĂ© par une bielle et vaillante et vierge GuĂ©rillĂšre » elle promet Ă  la cour dĂ©semparĂ©e de recruter une quinzaine de jeunes paysannes et de les prĂ©parer dans le plus grand secret Ă  cette mission. Toutes auront nom Jehanne, celle qui survivra et rĂ©coltera la mise sera la plus fĂ©roce. La douziĂšme se signale bientĂŽt comme une tache huileuse, plus souillĂ©e que le trĂŽne de France, le cheveu fol et l’Ɠil louche ». Yolande a beau maltraiter celle qu’elle surnomme Jehanne la Pourcelle, la petite qui en a vu d’autres lui voue une passion sans rĂ©serve, copie des poĂšmes que la reine dĂ©chire sans les regarder, et s’affirme comme la plus apte Ă  la mission projetĂ©e. Le programme d’étude comprend l’enseignement des bielles-lesttres, l’histoire de l’hystĂ©rie religieuse, la simulation de la transe, l’art de la guerre Ă  travers le monde, l’initiation Ă  l’esgorgement, aux arts martiaux et aux tactiques militaires, avec confessions facultatives le samedi, et tous les jours de 12h Ă  13h30, ripailles le dimanche de 12 Ă  17h. Une des Jehanne meurt de la suette, trois ne survivent pas Ă  l’hiver, les villageois Ă©chauffĂ©s par les prĂȘtres de l’Inquisition en tuent d’autres et sont exterminĂ©s en reprĂ©sailles par Jehanne douze qui a revĂȘtu l’armure de Brunehaut. Quand le prĂȘtre-chef d’Inquisitio la supplie de l’épargner, promettant de se convertir Ă  Satan, Jehanne le dĂ©coupe net en six morceaux. Au retour de Chinon, Yolande la dĂ©couvre en train de dĂ©vorer la chair des cadavres fumants. CondamnĂ©e Ă  l’isolement, la numĂ©ro douze devra suivre le chemin de croix du Christ, tout factice soit-il. Des guĂ©rillĂšres dĂ©funtes la visitent dans sa nuit et lui parlent des Autres Mondes. AprĂšs une longue pĂ©nitence, et avec l’aide des trois Jehanne survivantes, qui lui rĂ©pĂštent en douce ce qu’on leur enseigne en classe, la numĂ©ro douze est prĂȘte pour le dĂ©part. La mission a Ă©tĂ© bien prĂ©parĂ©e, tous sur la route vers Chinon sont de connivence, et Jehanne est prĂ©venue que le roi qu’on lui prĂ©sentera sera un leurre, Ă  elle de dĂ©couvrir le vrai. Guillaume Lebrun © Mathieu Rolland AprĂšs quelques concessions Ă  l’histoire conventionnelle, l’entrevue de Chinon, l’épĂ©e de Fierbois, un clin d’Ɠil au sire Pastoureau » qui devrait ajouter un Ăąne Ă  son bestiaire humain, Jehanne marche sur OrlĂ©ans. Seule, car les soldats craintifs l’abandonnent, et guidĂ©e par une Voix qui lui commande d’attaquer. Une horde de fantĂŽmes fĂ©minins la rejoint, le voile des RĂ©alitĂ©s se dĂ©chire le temps d’un Ă©pisode fantasmatique, les Anglais hurlent Ă  la sorcellerie, puis le voile se remet en place. Jehanne n’a pas de mots assez durs pour les Englishes et la curaille d’abbaye ». L’énorme massacre la fait gĂ©mir de plaisir. Yolande craint qu’elle ne se prenne Ă  son propre jeu et verse dans la nutjoberie. OrlĂ©ans dans sa propre vision est le NƓud de la Grande-Jonction, la ClĂ© du Livre des sortilĂšges dissimulĂ© au cƓur du NƓud. Mais tous ceux qui touchent Jehanne basculent avec elle dans le Monde suivant, oĂč Yolande dĂ©couvre qu’elle s’est fourvoyĂ©e, son MaĂźtre n’était qu’un usurpateur de plus, un faux dieu. La petite armĂ©e rĂ©sistante entre en lutte contre le NĂ©ant de la Beste, rejointe par des femmes surgies du Livre gravĂ© sur le corps du mystĂ©rieux Abdul. MĂȘme l’infĂąme Isabeau de BaviĂšre prend place dans leurs rangs. Elles apprendront Ă  voyager dans les interstices des mondes en apprenant Ă  maĂźtriser les pouvoirs dissimulĂ©s en elles. Un combat Ă©pique se dĂ©roule sur plus de vingt pages dans une boucle de temps suspendu, avec toute la boucherie et les effets spĂ©ciaux d’un film gore particuliĂšrement visqueux. De l’Ɠil entaillĂ© du Monstre, des nuĂ©es d’ñmes emprisonnĂ©es depuis des millĂ©naires s’enfuient. Une fois la victoire remportĂ©e, les GuĂ©rillĂšres forment une grande ronde de sororitĂ© », avec accolades, rires, psalmodies dans leurs langues rendues en Babel », et belles promesses de revoyure ». Quant Ă  Jehanne, elle se dĂ©clare Au-dessus du lot genrĂ©, toujours Hautement IrrĂ©cupĂ©rable, Heureuse, Vivante ». Ces amazones plus ou moins cĂ©lĂšbres sont rassemblĂ©es dans un Ă©crit de Yolande, Nouvelles Vies parallĂšles des femmes illustres, reproduit Ă  la fin des Fantaisies guĂ©rillĂšres. Également offert en appendice, le texte des poĂšmes que Jehanne adresse en vain Ă  Yolande, extraits de l’Ɠuvre de la grande troubarde Marie-Claudette de Charlemagne – pour les non-initiĂ©s, CĂ©line Marie Claudette Dion, nĂ©e Ă  Charlemagne, QuĂ©bec. Dernier rebondissement, dernier tour de passe-passe ; Et l’Histoire se remit gentiment en branle. » Sans surprise, Charles VII le cancrelat abandonne Jehanne comme PĂšre abandonne Fils en croix ». Au fait, la Yolande historique ne semble pas non plus avoir levĂ© le petit doigt pour la sauver. C’est Ă  la toute fin que s’éclaire la double signature de la Note en exergue Ă  l’attention des moines copistes Aucune protestation de votre part concernant la vĂ©racitĂ© de ce rĂ©cit ne sera prise en compte. » Le deuxiĂšme roman de Guillaume Lebrun va-t-il confirmer ses dons, trouver de nouvelles cibles Ă  son humour, errer dans les brumes de mondes alternatifs ? On attend la suite avec intĂ©rĂȘt et sympathie. Monique Wittig avait publiĂ©, en 1969, Les GuĂ©rillĂšres chez Minuit. Y'a qu'un cheveu sur la tÃÂȘte à Mathieu” Michel Polnareff. Mettez une note de 1 Ă  10 ⇒ . Commentez cette chanson ⇒ notes “coups de coeur” sur cette chanson : Les 10 derniers commentaires; Chanson commentaire; Casatschok (Rika ZaraĂŻ ) «C'est triste tous ces bons chanteurs disparus trop tĂŽt » La tendresse (Marie LaforĂȘt ) «Beaucoup de trĂšs bons titres de
CeĂ  quoi Barack Obama a rĂ©pondu en se prosternant devant le petit garçon afin qu'il puisse les toucher. La photo est devenue virale. Treize ans plus tard, alors que le petit Jacob est devenu grand, leur moment ressurgit. En effet, Obama a de nouveau rencontrĂ© Jacob et a partagĂ© une vidĂ©o de leur entrevue. L'ancien prĂ©sident des États
Lejour des Rois 1521, et cependant que les princes Ă©taient dans l’usage de faire un roi de la fĂšve, un accident faillit changer la face de l'Europe en terminant prĂ©maturĂ©ment la carriĂšre de François Ier. Almanach, Ă©vĂ©nements 6
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Sefoutre la paix, ça veut dire qu’on Ă©coute et on accepte tout ce qui arrive dans notre tĂȘte et dans notre corps. On laisse s’exprimer ce qui vient, on est ouvert‱e Ă  tout, sans vZU3.
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