Peuton devenir tireur d'Ă©lite dans les parachutistes de l'armĂ©e de terre française ? 2009-02-17 13:12:45 UTC. je pose moi meme cette question car c'est ce que je rĂȘverais de faire . merci d'avance pour vos rĂ©ponse. Neuf rĂ©ponses: Alain P . 2009-02-21 09:58:51 UTC. salut oui tu peux mais sais une formation apport,para est une chose et tireur est une autre,conseil regarde si tu
L’entraĂźnement au tir virtuel c’est pour bientĂŽt. Dans un appel d’offres publiĂ© le 13 octobre, la DGA a officiellement lancĂ© le projet SINETIC, ou systĂšme d’instruction et d’entraĂźnement au tir de combat ».DĂ©veloppĂ© en 1995, le SITTAL va ĂȘtre remplacĂ© par le SINETIC CrĂ©dit photo armĂ©e de Terre/MinArm À peine mentionnĂ© lors des dĂ©bats prĂ©liminaires Ă  l’adoption de la LPM 2019-2025, SINETIC est un programme interarmĂ©es visant au remplacement des 51 systĂšmes SITTAL Simulateur de Tir Technique Ă  l’Armement LĂ©ger, commandĂ©s en 1994 auprĂšs de Gavap. Le besoin est estimĂ© Ă  60-80 systĂšmes rĂ©partis en France mĂ©tropolitaine et les Ă©tablissements d’Outre-mer. La date limite de soumission des offres est fixĂ©e au 28 novembre prochain. Seul contrainte – un classique des annonces BOAMP – tout candidat, qu’il s’agisse d’un industriel unique ou d’un groupement d’opĂ©rateurs, doit justifier un chiffre d’affaires annuel sur les trois derniers exercices Ă©gal ou supĂ©rieur Ă  20M€. D’aprĂšs l’appel d’offres, SINETIC est un simulateur d’instruction et d’entraĂźnement en salle » qui prendra non seulement en compte le portfolio actuellement en dotation, mais Ă©galement les armes Ă  venir de types fusil d’assaut, pistolet automatique, fusil de prĂ©cision, fusil de combat rapprochĂ© et armement collectif » ainsi que le systĂšme FELIN. L’entraĂźnement au tir sera simulĂ© avec des armes factices, donc non considĂ©rĂ©es comme des armes mais prĂ©sentant un haut niveau de reprĂ©sentativitĂ© ». SINETIC se subdivise en deux composantes interopĂ©rables au sein d’un mĂȘme espace d’entraĂźnement l’un pour l’instruction au tir des armes lĂ©gĂšres, et le second pour les mitrailleuses en superstructures ou les armes lĂ©gĂšres montĂ©es sur vĂ©hicule. ÉlĂ©ment essentiel des processus de formation et de remise Ă  niveau, ces simulateurs de tir en salle mesurent, par exemple, la prĂ©cision des tirs et enregistrent les rĂ©sultats d’impacts par tireur et par cible, ce qui permet ensuite aux formateurs de suivre avec prĂ©cision les progrĂšs de chacun de ses tireurs. Quant aux potentiels candidats, difficile de ne pas penser Ă  Gavap, devenu RUAG Defence France SAS en 2016 et dont le savoir-faire en matiĂšre de simulation est dĂ©jĂ  reconnu au sein des forces françaises. La sociĂ©tĂ© de Terssac est notamment responsable, avec Thales, du dĂ©veloppement du systĂšme CERBERE. Reste qu’avec un chiffre d’affaires de 18,6M€ en 2017, RUAG devra nĂ©cessairement s’aligner dans les starting blocks en compagnie d’un autre cador de l’écosystĂšme de dĂ©fense français.
Ladouble dotation FAMAS/ABL de certains combattants lui procure la capacitĂ© d’engager le combat Ă  courte distance (200-300 m), face Ă  des vĂ©hicules blindĂ©s (vĂ©hicules de combat d’infanterie, certains chars selon les angles de tir), et de tirer contre des positions dĂ©fensives adverses. Dans certains cas particuliers, la possibilitĂ© de doter chaque combattant
International DĂ©fense Dans son plan stratĂ©gique, le gĂ©nĂ©ral Thierry Burkhard juge que l’Europe est actuellement cernĂ©e » par la militarisation sans complexe du monde » Article rĂ©servĂ© aux abonnĂ©s Une armĂ©e de terre française endurcie », munie de toute la panoplie, armes cyber, drones, canons, chars. Pour quoi faire ? Son nouveau chef d’état-major, en poste depuis juillet 2019, le gĂ©nĂ©ral Thierry Burkhard, s’en est expliquĂ© pour la premiĂšre fois devant la presse. Son plan stratĂ©gique » pour les dix ans Ă  venir a Ă©tĂ© rendu public mercredi 17 juin. LĂ©gionnaire parachutiste, le gĂ©nĂ©ral Burkhard, 55 ans, est un opĂ©rationnel, pragmatique. Il a commandĂ© la 13e demi-brigade de la LĂ©gion Ă©trangĂšre, mais aussi le centre de conduite des opĂ©rations de l’état-major central. Il Ă©voque l’engagement occidental en Afghanistan dans les annĂ©es 2010 comme la pĂ©riode oĂč nous avons redĂ©couvert la guerre de façon brutale ». Les talibans ne reprĂ©sentaient certes pas une menace vitale, existentielle » pour la France. Mais on a retrouvĂ© quelqu’un qui voulait nous tuer, et cela nous a ramenĂ©s Ă  une efficacitĂ© opĂ©rationnelle significative. » A l’époque porte-parole de l’état-major des armĂ©es, le colonel Burkhard rĂ©pondait chaque semaine ou presque aux questions soulevĂ©es par la mort de soldats français au combat. Lire aussi Article rĂ©servĂ© Ă  nos abonnĂ©s Le programme Scorpion » pour une guerre robotisĂ©e Aujourd’hui, selon lui, ce cycle de conflictualitĂ© dominĂ© par la contre-insurrection s’achĂšve. L’armĂ©e attend de nouveaux affrontements, symĂ©triques, Etat contre Etat ». La guerre en Libye, avec le partage du terrain qu’ont organisĂ© la Russie et la Turquie, dĂ©montre qu’ils peuvent arriver plus vite que prĂ©vu, et ce non loin de la France. L’Europe, juge le gĂ©nĂ©ral, est cernĂ©e » par la militarisation sans complexe du monde ». Nos adversaires nous testent de plus en plus durement, sans craindre d’aller Ă  l’incident. » Or, a-t-il expliquĂ© Ă  ses troupes dans une vidĂ©o interne, le moindre incident peut dĂ©gĂ©nĂ©rer en escalade militaire non maĂźtrisĂ©e ». L’armĂ©e française Ă©pouse les analyses de l’OTAN. Le combat futur avec la Russie ne procĂ©dera pas d’une invasion, mais peut-ĂȘtre d’une erreur de calcul qui nous entraĂźnera », assurait ainsi un cadre de l’organisation, il y a quelques mois, Ă  Paris. Dans ce contexte, avait estimĂ© l’expert, l’armĂ©e de terre française devra se concentrer sur ses capacitĂ©s de dissuasion, toujours se tester et innover sous la pression, dĂ©velopper ses feux, son interopĂ©rabilitĂ© et ses dĂ©fenses antimissiles, mais aussi sĂ©curiser ses systĂšmes de commandement ». Endurcir l’armĂ©e de terre » Il vous reste de cet article Ă  lire. La suite est rĂ©servĂ©e aux abonnĂ©s. Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil Ă  la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. DĂ©couvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil Ă  la fois ordinateur, tĂ©lĂ©phone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous ĂȘtes la seule personne Ă  consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez Ă  lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connectĂ© avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant Ă  des moments diffĂ©rents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe. dĂ©solĂ©de vous contredir mais je fais parti de la lĂ©gion depuis 4 ans donc je c quand meme comment on n'y rentre Tu sais comment on rentre dans la lĂ©gion, mais certainement pas comment on fait pour rentrer dans l'armĂ©e de terre, et encore moins Tireur de
Dans le milieu du photojournalisme, on parle beaucoup des reporters de guerre comme Patrick Chauvel auteur de l’excellent Rapporteur de Guerre », mais finalement assez peu des photographes militaires, qui accompagnent les soldats au combat. On les appelle les photographes de la dĂ©fense ». Zoom sur les photographes de la dĂ©fense Transcription de la vidĂ©o Jean-RaphaĂ«l Ces gens qui vont faire les images, ils vont partir sur le terrain avec les militaires, avec un gilet pare-balles, un sac, une arme. Ils auront dĂ©jĂ  40 kg sur le dos et ils vont se rajouter 2 boitiers, des batteries, le flash, et il va falloir qu’il fasse tout ça en mĂȘme temps avec tout le risque que ça peut prendre. Aujourd’hui nos photographes partent en opĂ©ration, sur tous les théùtres, suivre les troupes. Et comme n’importe quel journaliste photographe civil, mais cette notion de risque il faut vraiment qu’elle soit perçue puisque ça peut arriver. Zoom sur
 Les photographes de la dĂ©fense Le mĂ©tier de reporter de guerre fait rĂȘver de nombreux photographes. Partir Ă  l’aventure, prendre des risques et ramener des photos incroyables, telles sont les missions de ces passionnĂ©s. Le cinĂ©ma et la littĂ©rature font de ces derniers de vĂ©ritables hĂ©ros. Dans cette vidĂ©o nous allons partir Ă  la rencontre d’une autre profession tout aussi intĂ©ressante, celle de photographe de la dĂ©fense. Ces soldats de l’image suivent au plus prĂšs les militaires dans leurs missions, que ce soit en France ou dans les pays en guerre avec comme mission de communiquer et de documenter. ——————————————————— Jean-RaphaĂ«l Je m’appelle Jean-RaphaĂ«l, j’ai 46 ans, je suis aujourd’hui journaliste reporter d’images pour Terre Information Magazine, qui est le magazine de l’ArmĂ©e de Terre. Donc je travaille au sein du service d’informations et de relations publiques de l’ArmĂ©e de Terre Sirpat. Arnaud Je m’appelle Arnaud RoinĂ©, je suis photographe aux armĂ©es depuis maintenant pratiquement 20 ans. Je suis actuellement photographe Ă  l’établissement de communication et de production du visuel de la dĂ©fense, l’ECPAD. C’est l’hĂ©ritier d’une longue tradition au sein de la dĂ©fense. Anthony Je suis le Chef Anthony, j’ai 35 ans, 15 ans de services dans l’armĂ©e. Je suis photographe au sein de la DICOD. Donc la DICOD c’est la dĂ©lĂ©gation, l’information, la communication de la dĂ©fense. Les photos que je fais servent essentiellement pour un magazine qui s’appelle ArmĂ©es d’aujourd’hui ». C’est un magazine qui regroupe toutes les photos et les articles des journalistes de la dĂ©fense. Riposte aux tirs d’insurgĂ©s par les soldat de la S4 1Ăšre Cie 126e RI de la Task Force Bison au cours de l’opĂ©ration Spear Tackle 2 » en vallĂ©e de Kapisa / ADC Jean-RaphaĂ«l / ArmĂ©e de Terre Tu es photographe ou soldat ? Jean-RaphaĂ«l Je suis soldat, et ma spĂ©cialitĂ© c’est journaliste. Arnaud Je suis photographe, avec la particularitĂ© que je dois aussi porter les armes. Donc c’est le cĂŽtĂ© soldat de mon mĂ©tier, jusqu’à parfois devoir l’utiliser. Ça m’est arrivĂ© en Afghanistan. Je ne suis pas un grand fan d’armes. Ça il n’y a pas de doute. Je ne suis pas un grand passionnĂ© de l’arme, mais c’est la contrainte du mĂ©tier maintenant pour les opĂ©rateurs de la dĂ©fense. Jean-RaphaĂ«l Nous en opĂ©rations extĂ©rieures on a une arme, mais notre job c’est bien de faire des photos. Et il faut, tout en faisant nos images, faire constamment attention Ă  notre environnement, pour plusieurs raisons. Bien Ă©videmment il y a le risque personnel, de ne pas, en tout cas si ça tire autour de nous, de pouvoir se protĂ©ger. Mais parce qu’aussi parce que le groupe qui est autour de nous ne doit pas tout d’un coup ĂȘtre attentif au photographe en se demandant oĂč il est. Parce qu’il est hors de question que je fasse prendre des risques en fait aux militaires qui sont autour de moi parce que je fais des photos. Donc il faut faire attention Ă  la situation, que je fasse attention aux gens qui sont autour de moi pour ne pas les mettre dans une situation compliquĂ©e et qu’ils n’aient pas Ă  me gĂ©rer. Et en mĂȘme temps il faut que je fasse mes images. Parce que moi je suis bien lĂ  pour rapporter ce que font les militaires. Il faut arriver Ă  mixer tout ça. C’est des fois un peu compliquĂ© mais on y arrive. Anthony Auparavant je n’étais pas photographe. Je travaillais dans un rĂ©giment d’artillerie parachutiste. Donc ça n’avait rien Ă  voir. J’avais un poste de technicien, et passionnĂ© de photos. On va dire que j’ai eu de la chance. J’ai rencontrĂ© des bonnes personnes. Et en montrant mon travail et en essayant de se faire connaitre un petit peu je me suis fait aspirer dans le service. OpĂ©ration Bison Scrum dans le Sud Tagab. Chef de groupe de la S4 3e Cie 35e RI au moment d’un accrochage avec les insurgĂ©s / ADC Jean RaphaĂ«l / ArmĂ©e de Terre Pourquoi as-tu choisi ce mĂ©tier ? Anthony La photo j’y suis rentrĂ©, en fait je m’y suis vraiment intĂ©ressĂ© quand j’ai commencĂ© Ă  lire les bouquins de Chauvel. C’est fou mais j’ai lu ses bouquins et j’ai dit Whoua putain le mec, voilĂ  quoi
 il envoie du gaz quoi. » C’est sĂ»r que quand il nous raconte ses anecdotes ça donne envie. Je pense que, tous les photographes, ça leur a donnĂ© envie. Arnaud Je fais partie de cette gĂ©nĂ©ration qui a dĂ» faire son service militaire. C’est ce mĂ©tier qui m’a trouvĂ© parce que j’ai fait une vraie rencontre avec le milieu militaire. Je suis restĂ© pour l’état d’esprit que j’y ai trouvĂ©, pour cet esprit de cohĂ©sion, pour la vie en groupe, un peu pour tout ça. Et puis aussi parce que les missions que me racontaient mes anciens me faisaient plutĂŽt rĂȘver. On parlait d’Afrique. On parlait d’Ex-Yougoslavie. On parlait de tout ça. Ça me faisait envie. Jean-RaphaĂ«l Ce qui finalement est passionnant dans ce travail, c’est qu’on photographie des mecs camouflĂ©s. Mais en fait les mecs camouflĂ©s font pleins de choses. J’ai fait un jour un reportage sur un militaire qui est en Ă©quipe de France de magie. VoilĂ . Il Ă©tait capitaine de l’équipe de France de magie. Il faisait apparaitre des bouteilles de soda dans un ballon et je devais faire les photos. Et j’ai fait un cuisinier qui Ă©tait en stage chez Ducas. On a Ă©tĂ© obligĂ© de manger. C’était un peu casse-pieds. Et Ă  cĂŽtĂ© de ça on se retrouve sur le terrain dans des situations qui sont plus ou moins difficiles ou tendues, en opĂ©rations extĂ©rieures, comme j’ai fait Ă  quelques reprises en Afghanistan ou au Mali qui, forcĂ©ment, marquent. OpĂ©ration SERVAL au Mali. Moment de repos dans un VBCI pour un tireur de prĂ©cision FRF2 de la S4 de la 1re Cie du 92e RI / ADC Jean-RaphaĂ«l / ArmĂ©e de Terre Est-ce que le photographe de la dĂ©fense est juste un communicant ? Arnaud On essaie de ne pas ĂȘtre des communicants Ă  la captation mais bien des photographes. VoilĂ . Je pense que ça c’est essentiel. Et ensuite on met cette matiĂšre premiĂšre Ă  la disposition des communicants de la dĂ©fense qui les utilisent pour illustrer leurs propos. Jean-RaphaĂ«l Tous les photographes au sein de la dĂ©fense, qu’ils soient dans l’ArmĂ©e de Terre, dans la Marine, dans l’ArmĂ©e de l’Air, l’ECPAD, la DICOD, on fait bien de la communication. Donc nos images servent dans des cas trĂšs prĂ©cis. Pour des publications magazines. Pour des campagnes d’affichages. Pour des plaquettes. Bref, il y a beaucoup de supports. Anthony Quand tu es photographe indĂ©pendant, tu fais ce que tu veux. C’est Ă  toi de trouver ton sujet. C’est Ă  toi d’essayer de le vendre. LĂ  ici c’est une com’ institutionnelle. C’est le deal. On va dire c’est le deal. AprĂšs quelque part elle est institutionnelle, mais elle sert aussi pour les archives. Donc on travaille aussi pour le futur. Arnaud Et puis ces images existent. Ce n’est pas parce qu’elles ne sont pas montrĂ©es ou montrĂ©es un peu diffĂ©remment qu’elles n’existent pas et qu’elles sont pas mises Ă  disposition de la mĂ©moire collective. C’est l’avantage de l’ECPAD, c’est que toutes ces images-lĂ  sont mises Ă  la disposition du public et donc elles peuvent servir Ă  des historiens, des chercheurs, des Ă©tudiants, des journalistes, des documentaristes, pour pouvoir travailler dessus et se rendre compte de la vie quotidienne des soldats en opĂ©ration. C’est ce qui fait la richesse de l’établissement sur les images du dĂ©but du siĂšcle, de l’AlgĂ©rie, de l’Indochine. Mais c’est ce qui fait aussi la richesse de notre production sur les théùtres d’opĂ©rations rĂ©cents. Anthony On ne se rend pas compte au dĂ©but. C’est vrai qu’on fait des images. On ne perçoit pas encore le cĂŽtĂ© Archives. Mais quand on regarde les images de 39-45, elles ont plus d’impact et d’importance qu’aujourd’hui. MĂȘme si avec les rĂ©seaux sociaux on a une certaine visibilitĂ©, je pense que plus tard ces images vont vraiment prendre de la valeur. Une Ă©quipe GCP au repos dans un compound du village d’AdasaĂŻ au cours d’une opĂ©ration de fouille et contrĂŽle de zone en vallĂ©e d’AlasaĂŻ / ADC Jean-RaphaĂ«l / ArmĂ©e de Terre Arnaud J’ai conscience que ce que je fais a de l’importance pour les annĂ©es qui viennent et pour le regard que porteront les gens qui s’intĂ©ressent Ă  cette situation-lĂ . Pour le regard qu’ils porteront sur ce moment de l’histoire de la DĂ©fense. Et par extension, de l’histoire d’une partie de l’action de la France sur le territoire national quand on parle de sentinelles, mais aussi Ă©videmment sur les théùtres extĂ©rieurs. Je pense que oui c’est important du coup de rester le plus objectif possible dans notre travail, mĂȘme si on ne documente qu’une partie de l’histoire, qui est la partie française. C’est aussi ça qui nous diffĂ©rencie du travail d’un journaliste qui lui va forcĂ©ment essayer d’aller voir ce qu’il se passe de l’autre cĂŽtĂ© aussi, pour essayer de comprendre la situation dans sa globalitĂ©. Nous non. C’est vrai on est toujours du mĂȘme cĂŽtĂ© de la ligne. Mais je pense qu’on a conscience de l’importance de ce travail oui. Jean-RaphaĂ«l Le but c’est bien d’appuyer la communication de l’armĂ©e pour laquelle on travaille, et moi en l’occurrence l’ArmĂ©e de Terre. AprĂšs, au bout de quelques temps, normalement une belle image de toute façon raconte forcĂ©ment une histoire. Quelque soit le photographe, civil ou militaire, il construit son image et il met des choses dedans pour raconter une histoire. Nous on raconte l’histoire des militaires et effectivement bien Ă©videmment sous un angle positif. Ce n’est pas de la propagande dans le sens nĂ©gatif du terme. Parce que ce qu’on montre c’est la rĂ©alitĂ©. On ne trafique pas les images. Mais on va montrer bien Ă©videmment ce qui se fait de mieux sur le terrain, dans les unitĂ©s, un petit peu partout en France et Ă  l’étranger. Anthony Ouais, j’ai de la chance. Je pense que je n’arrĂȘterais pas de le dire, mais j’ai vraiment de la chance. Il y a des gens qui font une carriĂšre, qui font leurs trucs toute leur vie, dans une fonction. Je pensais que ça allait ĂȘtre mon cas. Et en fait voilĂ , j’ai 15 ans de service. J’ai fait 11 ans en rĂ©giment Ă  faire la spĂ©, je ne regrette pas du tout. J’ai adorĂ©. Ça m’a permis aussi de me forger un caractĂšre. Ma formation militaire c’est ce qui m’a aussi aidĂ© en tant que photographe, Ă  anticiper les choses. On connait le milieu. Ça c’est important aussi. OpĂ©ration SANGARIS en RĂ©publique centrafricaine. Le 27 janvier 2014, devant le camp De Roux » Ă  Bangui. L’infirmiĂšre de classe normale ICN Jessica Cabral du centre mĂ©dical des armĂ©es CMA de Dax, intervient sur un jeune Centrafricain blessĂ© Ă  la gorge. ADC Jean-RaphaĂ«l / ArmĂ©e de Terre Jean-RaphaĂ«l Pour ĂȘtre photographe militaire en fait, dans l’ArmĂ©e de Terre, il ne faut pas oublier qu’on est militaire avant tout. Donc le jeune qui veut devenir photographe va s’engager. Il va ĂȘtre dans un rĂ©giment. Il va vivre sa vie de militaire dans ses classes, dans ses opĂ©rations, en France, Ă  l’étranger. Petit Ă  petit il va faire des images. Il va montrer qu’il sait faire des images, en tout cas qu’il a trĂšs envie de faire des images et il sera identifiĂ© en tant que tel dĂ©jĂ  dans son unitĂ©, dans son rĂ©giment, et puis aprĂšs par l’ArmĂ©e de Terre. Et il pourra postuler en fait pour venir chez nous. Anthony Il y a des codes. On va dire ça comme ça. Il y a des choses qu’il faut savoir. C’est variĂ©. Il y a beaucoup de choses. Il y a du protocolaire comme il peut y avoir des exercices, comme on peut ĂȘtre en opĂ©ration extĂ©rieure. Donc c’est vraiment variĂ©. Il y a beaucoup de choses. Il faut connaitre comment se dĂ©place un groupe. Il faut avoir cette culture. Il faut avoir la culture militaire. CrĂ©dits photos ECPAD Envie de progresser en photo ? Faites comme plus de 10 000 photographes et abonnez vous Ă  ma newsletter pour recevoir mes meilleurs conseils en cliquant ici !
Armeede Terre. En 2019, plus de 25 000 hommes et femmes de l’armĂ©e de Terre sont dĂ©ployĂ©s en permanence en posture opĂ©rationnelle sur et hors du territoire national. Ils constituent une force opĂ©rationnelle (FOT) projetable s’élevant à 77 000 militaires. ComposĂ©e de civils et de militaires, d’active et de rĂ©serve, de grades et
FidĂ©litĂ© au passĂ©, exemple pour l'avenir Missions Le 1er rĂ©giment d’infanterie, outil opĂ©rationnel moderne, dispose de tous les moyens pour mener un combat de haute et moyenne intensitĂ© de jour comme de nuit sur VAB et GRIFFON. GrĂące Ă  une prĂ©paration opĂ©rationnelle alliant aguerrissement et rusticitĂ©, le rĂ©giment de Picardie est capable de mener des combats en espaces ouverts et en zone urbaine. Fier de son passĂ© mais tournĂ© vers l’avenir, et grĂące Ă  son entrĂ©e dans le programme SCORPION, le 1er RI se prĂ©pare dĂšs aujourd’hui aux spĂ©cificitĂ©s et Ă  la duretĂ© des conflits de demain. MatĂ©riels VĂ©hicule blindĂ© GRIFFON x 24 unitĂ©s HK417-fusil tireur prĂ©cision x 100 unitĂ©s MAG58-mitrailleuse x 50 unitĂ©s MINIMI-mitrailleuse lĂ©gĂšre x 50 unitĂ©s PGM HECATE II - tireur d'Ă©lite x 5 unitĂ©s VAB-vĂ©hicule de l'avant blindĂ© x 80 unitĂ©s MMP-missile moyenne portĂ©e x 2 unitĂ©s OpĂ©rations extĂ©rieures OPEX Lieu de vie Commune En termes d’activitĂ©s sportives et de loisirs, la ville de Sarrebourg propose de nombreux clubs football, handball, arts martiaux
 et associations culturelles. Le rĂ©giment est parfaitement intĂ©grĂ© dans la vie associative de la ville et de nombreuses activitĂ©s sont organisĂ©es en partenariat avec la mairie cross, journĂ©e dĂ©couverte
. CommoditĂ©s Le 1er rĂ©giment d’infanterie tient garnison dans la ville de Sarrebourg Moselle depuis 1968. Petite ville de 15 000 habitants, elle s’articule autour d’un centre-ville et de sa rue piĂ©tonne oĂč l’on trouve de nombreux commerces, bars et restaurants. Vie locale On y trouve Ă©galement un cinĂ©ma, une piscine, une bibliothĂšque, un conservatoire, un musĂ©e, etc. Deux zones commerciales dĂ©veloppĂ©es autour de deux hypermarchĂ©s complĂštent l’ensemble. La ville compte de nombreuses Ă©coles maternelles et primaires, trois collĂšges et deux lycĂ©es dont un professionnel. Localisation Sarrebourg est situĂ©e Ă  proximitĂ© de l’Alsace, des Vosges 30 min et de l’Allemagne 1 h, ce qui offre de nombreuses possibilitĂ©s de visites, de dĂ©couvertes et activitĂ©s de plein air randonnĂ©es, parc zoologique, Center Park, Europapark
 54 rue Gambetta 57400 Sarrebourg France AĂ©roport de Strasbourg Ă  45 min Gare SNCF Ă  5 min Ă  pied Logistique & Transport Renseignement Maintenance Infanterie
Jai 16 ans et j'envisage de passer mon bac puis m'engager directement dans l'armĂ©e mais laquelle je ne sais pas encore. J'hĂ©site entre faire l'Ă©cole de maistrance puis devenir fusilier marin avec une spĂ©cialitĂ© de commando (tireur de haute prĂ©cision) ou rentrer dans l'armĂ©e de terre et essayer d'ĂȘtre dans un rĂ©giment de FS pour ĂȘtre Ă©galement tireur de haute prĂ©cision mais Ă 
Orientation MĂ©tiers Tests MĂ©tiers Test MĂ©tier Tireur d'Ă©lite AttirĂ© par les mĂ©tiers de l’armĂ©e de terre, vous avez envie de vous impliquer dans la dĂ©fense ! De plus, votre entourage dit de vous que vous faites preuve de sang-froid et que vous ĂȘtes prĂ©cis. Êtes-vous rĂ©ellement prĂȘt Ă  commencer une telle carriĂšre professionnelle ? RĂ©pondez Ă  nos questions et dĂ©couvrez le rĂ©sultat ! Tireur d'Ă©lite missions, formations, rĂ©munĂ©ration... plus d'infos sur le mĂ©tier. Rechercher un mĂ©tier Mots clefs Secteur MatiĂšre DerniĂšres Offres publiĂ©es Les derniĂšres offres de stages et alternance
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